
Vous pouvez découvrir l’équipe 2019-2020 à travers cette vidéo réalisée en juin 2019 à l’occasion du rassemblement des groupes FFCAM dans le Verdon. Les portraits détaillés sont plus bas. Bonne découverte!

Marie P
Marie, c’est la fille dynamique toujours en quête d’émotions fortes. Aventurière avant tout, à la recherche de beaux sommets insolites ! Elle voit la montagne comme un merveilleux espace de liberté où, plus qu’ailleurs encore, l’on doit faire preuve d’humilité. Originaire de Chambéry elle travaille dans le développement de programmes pédagogiques en lien avec les problématiques liées au changement climatique.
Sa force ? Sa combativité
Sa faiblesse ? Sa sensibilité
L’atout pour le groupe ? Son dynamisme et sa détermination

Peux-tu nous raconter ton premier souvenir en montagne ?
Je dirais que c’est mon premier « sommet », à pied. Le petit Mont-Blanc en Vanoise, en famille, à l’âge de 7 ans. Pelé, recouvert d’une fine couche de schiste blanc brillant et super promontoire, ce sommet m’a laissé le gout de l’effort, du partage et du magnifique une fois au sommet !
Peux-tu nous raconter un souvenir marquant en montagne ?
Cohete Lunar, Objectivo Luna ! Une voie en Argentine, dans le massif de Frey ouverte par Michel Piola. Une voie isolée et exigeante qui m’a procuré beaucoup d’émotions. C’est, actuellement, la plus belle voie d’escalade que j’ai eu la chance de grimper.
Pourquoi faire partie du GFHM ?
Faire partie du GFHM est pour moi l’opportunité d’acquérir un bon bagage technique dans l’ensemble des disciplines de montagne. C’est aussi et surtout une belle manière de vivre une expérience en équipe, de progresser toutes ensemble et de monter de nouveaux projets, ce qui est passionnant.
Gaëlle
Gaëlle, c’est la fille qui garde le sourire à toute épreuve, que ce soit dans un 7a déversant ou après avoir fait cramer un gratin de pâtes trop cuites ! Passionnée de parapente, elle voit la montagne comme un formidable moyen de se ressourcer et de partager des aventures ! Elle est doctorante en biomécanique à Lausanne.
Sa force ? Sa persévérance
Sa faiblesse ? Son impatience
L’atout pour le groupe ? Sa motivation à toute épreuve !

Peux-tu nous raconter ton premier souvenir en montagne ?
Les ronfleurs en refuge, quand j’avais 5 ans. Lors de notre première rando en famille, mes parents avaient même du compacter 3 jours de marche sur 2 ; car ma sœur et moi préférions faire une grosse journée plutôt que de passer une nuit de plus dans un refuge ! 🙂
Peux-tu nous raconter un souvenir marquant en montagne ?
Je me souviendrai toujours du départ en ski de randonnée au alentour de 5h du mat’ sur le glacier (au nom imprononçable) « Triftgletscher » en direction du « Dammastock » (Alpes uranaises, Suisse). Les lumières étaient magnifiques. Mes potes étaient quelques mètres devant et j’avais l’impression d’être seule au monde, dans un paysage à couper le souffle.
Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Je m’imagine en pleine forme ! Toujours en train de parcourir les montagnes, grimper et faisant de beaux vols en parapente.
Marie J
Marie, c’est la fille déterminée et tenace qui met tout en oeuvre pour atteindre ses objectifs. Elle adore transmettre son expérience et savoir-faire aux autres ainsi que partager les tonnes de fromage et de chocolat qu’elle porte toujours dans son sac. Passionnée par la peinture, pour elle, la beauté de la montagne est une forme d’art ! Elle est vice-présidente du CAF Chamonix.
Sa force ? Sa persévérance.
Sa faiblesse ? Sa difficulté à lâcher prise.
L’atout pour le groupe ? Son côté multi-compétences et son adaptabilité exceptionnelle !

Pour toi la montagne c’est …
Le silence et la contemplation. Loin du quotidien ils permettent d’être véritablement dans le moment présent, de se réaliser et de se sentir en VIE !
Peux-tu nous raconter ton premier souvenir en montagne ?
Mon arrivée en haut du mont Kilimandjaro avec mes parents et mes sœurs… un bonheur inexplicable, un bien être profond, un sentiment de plénitude !
Pourquoi faire partie du GFHM ?
Pour vivre une aventure assez unique avec d’autres filles, pour apprendre et progresser dans ma pratique de la montagne.
Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Je m’imagine explorer les cartes et les sites à la recherche d’un nouveau coin de paradis à découvrir et explorer de quelque manière que ce soit ! Je me vois aussi en train de transmettre à mes amis, mes enfants ma passion pour la montagne pour une pratique responsable et sécuritaire.
Lara
Lara, c’est la fille qui est aussi douce que pétillante et aussi motivée que motivante. C’est aussi notre rayon de soleil madrilène, qui apporte toujours dans son sac à dos quelques délices de la gastronomie ibérique pour nous régaler. Ingénieure de recherche en robotique, elle habite à Grenoble.
Sa force ? Sa motivation.
Sa faiblesse ? Sa difficulté à prendre des décisions.
L’atout pour le groupe ? Son positivisme !

Peux-tu nous raconter un souvenir marquant en montagne ?
Le jour où j’ai gravi à 11 ans avec mon père, le pic Aneto, sommet qui m’a fait devenir une vraie passionnée de la haute montagne. Ce jour-là, j’ai ressenti un mélange de belles sensations : le grand bonheur de contempler une vue magnifique après une longue ascension, la fatigue, la fierté d’arriver au sommet, une incroyable gratitude envers mon père pour m’avoir fait découvrir le plaisir de l’alpinisme et une envie folle de gravir toutes les montagnes alentours !
Pour toi la montagne c’est …
La liberté et le bonheur. Tout simplement.
Pourquoi faire partie du GFHM ?
Pour moi, le GFHM représente l’opportunité de vivre une aventure unique, de rencontrer des filles motivées et passionnées par la montagne. De se former ensemble et de partager d’incroyables expériences, tout en donnant de la visibilité aux activités sportives féminines. La combinaison parfaite pour grandir, partager, apprendre, transmettre et s’épanouir personnellement.
Comment te vois-tu dans 20 ans ?
Dans 20 ans, je ne sais pas… Mais dans 30, j’espère devenir une heureuse retraitée montagnarde qui passe ses journées à gravir des sommets et à voyager autour du monde !
Clémence
Clémence, c’est la fille pleine de surprises : montagnarde aguerrie, voyageuse et jongleuse douée, elle concilie sa vie dédiée à la montagne avec sa passion pour le yoga. C’est aussi la fille toujours motivée à se lancer dans de nouvelles aventures et à partager son excellent génépi fait maison ! Originaire du Beaufortain elle travaille comme Accompagnatrice en Moyenne Montagne et professeure de yoga.
Sa force ? Son endurance.
Sa faiblesse ? Son manque de confiance en elle.
L’atout pour le groupe ? Sa zénitude à toute épreuve.

Pour toi la montagne c’est …
Une nécessité, un besoin : mon milieu de vie, mon travail, un moyen de m’évader mais aussi de me retrouver, un lieu de communion avec la nature, seule ou en groupe, un endroit de partage et de convivialité.
Pour toi le plus difficile en montagne c’est …
Passer devant, gérer la sortie du début à la fin…
Peux-tu nous raconter ton premier souvenir en montagne ?
Difficile, car c’est mon milieu naturel ! Peut-être ma première montée au Grand Mont (Beaufortain) en ski de fond avec des peaux, à l’âge de 8 ans. Puis redescente en ski alpin après avoir vu passer les coureurs de la Pierra Menta, la célèbre course de ski alpinisme.
Pourquoi faire partie du GFHM ?
Découvrir, partager, m’amuser, apprendre à être autonome et gagner en confiance.
Marion
Marion, c’est le genre de fille qui a tellement la caisse en ski de rando qu’elle vous laisse sur le carreau dès les 300 premiers mètres et décide de faire le sommet par deux itinéraires différents. C’est aussi la fille qui va vous prendre la moitié de votre sac pour vous aider ! Originaire de Maurienne, elle vit actuellement dans le nord Isère.
Sa force ? Sa détermination.
Sa faiblesse ? Vouloir tout faire en même temps.
L’atout pour le groupe ? Son sens de l’organisation à toute épreuve.

Pour toi la montagne c’est…
Un environnement qui semble hors du temps où l’on se découvre soi d’abord, puis les autres. Plus personnellement, c’est un milieu dans lequel je me sens plus vivante que nulle part ailleurs !
Pour toi le plus difficile en montagne c’est …
De dormir en refuge au milieu des ronflements !
Peux-tu nous raconter un souvenir marquant en montagne ?
C’est dans les “petites montagnes” des Calanques, sur l’arête de Marseille, une grande voie emblématique du massif. Je partageais la cordée avec Christophe pour la première fois (la première d’une longue série !), pour l’une de mes premières grandes voies en autonomie. C’est une voie avec une première longueur bien patinée, le célèbre pas Rébuffat où l’on se retrouve un pied sur chaque côté du rocher avec le vide en-dessous et une succession de longueurs plus faciles mais jolies avec une belle ambiance typée montagne qui donne l’impression de vivre une vraie aventure ! Pour couronner le tout il y a tout le long de l’ascension une superbe vue sur la mer. C’était magique !
Pourquoi faire partie du GFHM ?
Pour rencontrer des filles aussi passionnées que moi avec lesquelles s’amuser, apprendre et progresser. Pour gagner en maturité dans mes pratiques, oser prendre la tête d’une cordée et me lancer à terme dans des projets plus difficiles !
Zoé
Zoé, c’est la fille qui aime autant le fromage que la montagne. C’est dire tout l’amour qu’elle porte au bleu de Sassenage et autres produits laitiers du terroir ! Originaire de Grenoble, elle travaille aujourd’hui comme ingénieure en hydraulique à Lyon.
Sa force ? Sa pugnacité.
Sa faiblesse ? Son émotivité.
L’atout pour le groupe ? Son goût du challenge !

Pour toi la montagne c’est…
Toute ma vie! C’est l’environnement dans lequel j’ai grandi, au pied du Moucherotte dans le Vercors. J’ai passé une bonne partie de mon enfance à arpenter les sentiers de randonnée, à écumer les pistes de ski avec mes parents ou à visiter les refuges du coin ! Aujourd’hui, la montagne c’est mon équilibre, qui permet de m’épanouir, de me sentir bien mais également de me dépasser. C’est l’endroit où je me sens à ma place.
Peux-tu nous raconter un souvenir marquant en montagne ?
L’arrivée au sommet de mon premier 4000 m, la Barre des Écrins, que nous avions fait en réversible et sans guide. Je me souviens que je n’arrivais pas à croire qu’on avait réussi à faire le sommet, et dans les temps!
Pour toi le plus difficile en montagne c’est …
Ne pas pouvoir tout contrôler et d’être soumise aléas : les chutes de pierres, les « mauvais endroits aux mauvais moments ».
Pourquoi faire partie du GFHM ?
Pour intégrer un groupe de filles motivées et passionnées de montagne, faire des beaux projets et voir qu’on peut faire beaucoup plus qu’on ne le pense quand on est toutes ensemble et qu’on se soutient. Et puis aussi pour se marrer entre copines!
Faustine
Faustine, c’est le genre de fille qui vous donne le sourire dès que vous la rencontrez. Passionnée par les voyages, elle voit la montagne comme une aventure partagée avec les autres membres de la cordée. Originaire des Hautes-Alpes, elle travaille aujourd’hui comme médecin généraliste dans la vallée de Chamonix.
Sa force ? Son authenticité.
Sa faiblesse ? Son manque de confiance en elle.
L’atout pour le groupe ? Son rire communicatif !

Quel est ton premier souvenir en montagne ?
Alors en haute montagne… c’était aux Rouies (dans les Écrins), lors d’une sortie organisée par le comité régional de ski de fond dont je faisais partie. J’avais 16 ans. Je me rappelle m’être dit en arrivant au sommet : « La vache ! Il est 8h, les gens se réveillent à peine dans la vallée et nous on est là, à admirer un sublime lever de soleil… avec encore une deuxième journée devant nous ! ».
Peux-tu nous raconter un souvenir marquant en montagne ?
C’était pendant l’été 2018, avec mon super compagnon de cordée et d’aventures. On montait au Mont Blanc par le côté italien (voie des Aiguilles grises). Vers la fin de l’arête, je me rappelle lui avoir dit « heu, j’ai peur là… ! », et il m’a répondu d’un air super détendu « ben t’arrête pas alors ! ». Pour moi il y a beaucoup de choses dans ce souvenir : un compagnon de cordée génial, une course sublime seuls et sous la pleine lune, un sommet longtemps rêvé et le dépassement de moi-même.
Pour toi le plus difficile en montagne c’est …
Se connaître ! Connaître ses capacités, ses points forts et ses points faibles. Être capable de se surpasser, mais aussi connaître ses limites et être capable de s’arrêter quand on les approche.
Pourquoi faire partie du GFHM ?
Pour progresser, tendre vers l’autonomie grâce à l’horizontalité entre chacune. Et aussi pour créer des liens uniques d’amitié et de confiance, en partageant de nombreux moments en montagne ensemble !
Adeline (a quitté le groupe au bout d’un an)
Adeline, c’est la fille dynamique avec plein d’énergie qui après avoir avalé 1600m de dénivelé est capable de faire la fête jusqu’à l’aube ! Pour elle, la montagne est un milieu pour se rapprocher de la nature et des ses compagnons de cordée tout en vivant des sensations fortes. Installée en Haute Savoie elle est Accompagnatrice en Moyenne Montagne.

Charlotte (a quitté le groupe au bout d’un an)
Charlotte, c’est la fille qui vit à 100 à l’heure, entre la montagne, son cheval, ses déplacement pro en Norvège. C’est un peu notre superwoman! Ingénieure chargée d’affaires, elle habite à Grenoble.
